“Au XIXe siècle, on a recruté des bras. Au XXe siècle, on a recruté des cerveaux. Au XXIe, on recrute des cœurs”

Mokhtar Zannad, Directeur Général de Nielsen,
Lauréat du prix de l’Entreprise innovante, édition 2016, du Forum Hub Africa.

ACTUALITÉS

Congo Brazzaville, pays pétrolier condamné à se réinventer pour préparer l’après pétrole, accélérer la décarbonation et impulser l’économie verte avec un engagement fort du secteur privé et des entreprises congolaises 
 
Grâce au leadership remarquable de sa Directrice Associée, Mme. Bel Lauretta TÉNÉ née PAMBOU DINANA, le cabinet Afrique RSE Congo, entité du groupe panafricain Afrique RSE spécialisé sur la RSE, l’ESG et la durabilité prépare activement depuis quelques semaines la formation sur la Responsabilité Sociétale des Entreprises et la durabilité qui aura lieu à Brazzaville du 22 au 27 septembre 2025 ainsi que la deuxième édition du forum sur RSE et la durabilité au Congo qui se tiendra le 26 septembre 2025 dans la capitale politique congolaise avec le soutien de BL Technology, de DOING GOOD IN AFRICA (DGIA) et du magazine Dirigeantes, leadership au féminin.
 
« Entreprises à impact : Contribution des entreprises congolaises à l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD) : Focus sur l’ODD 3 sur la santé, ODD 7 sur les énergies propres et ODD 13 sur la lutte contre le changement climatique. » est la thématique retenue pour cette rencontre qui va mobiliser les parties prenantes de référence au Congo. 
 
Le pétrole a généré la moitié du Pétrole Intérieur Brut (PIB) de la République du Congo, un peu plus de la moitié des recettes budgétaires et près de 90 % des recettes dexportation du pays en 2024. 
 
La préparation de l’après-pétrole et le positionnement important sur l’économie décarbonée et verte sont aujourd’hui des urgences pour ce pays pétrolier.
 
Les ODD 3, 7 et 13 présentent des enjeux stratégiques importants pour le Congo. 
 
En effet, selon le rapport sur le climat et le développement du Congo publié en 2023 par la Banque Mondiale, « les pertes économiques pourraient atteindre 17 % du PIB d’ici 2050 si les efforts en faveur de la diversification de l’économie et de l’augmentation des investissements climatiques ne sont pas entrepris. Les effets du changement climatique pourraient également faire augmenter le niveau des dépenses globales en matière de santé de 92 millions de dollars en 2010 à 260 millions de dollars d’ici 2050. » 
 
Selon le rapport « Perspectives économiques en Afrique 2025 : Tirer le meilleur parti du capital de l’Afrique pour favoriser son développement » publié par la Banque Africaine de Développement (BAD) en mai 2025, la croissance de l’économie congolaise sera de 3,7 % en 2025 et de 3,6 % en 2026.
 
Mais la principale institution bancaire africaine note également que « ces perspectives sont confrontées à des risques, notamment les tensions géopolitiques, les vulnérabilités liées au pétrole en lien avec les nouveaux tarifs douaniers américains, ainsi que les effets des changements climatiques. »
 
La décarbonation de l’économie congolaise est d’autant plus urgente que le recours aux énergies fossiles pèse sur la productivité et la compétitivité des entreprises congolaises.
 
A cause de l’instabilité du réseau électrique et l’absence des infrastructures énergétiques dans certaines localités les entreprises et industries congolaises ont recours quasiment 24h/24h aux groupes électrogènes.

D’après la Banque Mondiale « Sans le secteur privé, le Congo ne pourra pas surmonter les défis de développement et environnementaux auxquels il est confronté. Les entreprises sont hautement vulnérables aux risques climatiques, toutefois, elles peuvent aussi apporter une contribution majeure aux stratégies d’atténuation et d’adaptation du pays, notamment en mobilisant des fonds et des savoir-faire supplémentaires. »

Pour l’Institution de Bretton Woods « La transition vers une économie verte nécessitera de sensibiliser le secteur privé local aux défis et aux opportunités liés à « l’économie verte », ainsi qu’aux politiques, réglementations et financements appropriés, afin de permettre à un secteur privé dynamique et réactif d’opérer dans des conditions équitables, avec l’appui judicieux du gouvernement. »

Le forum et la formation qui auront du 22 au 27 septembre à Brazzaville contribueront à cet objectif.

Pour en savoir plus, participer et ou soutenir, contactez-nous : 

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A propos du cabinet Afrique RSE

Présent en France et dans 10 pays africains, Afrique RSE est un groupe panafricain spécialisé sur la Responsabilité Sociétale des Entreprises, l’ESG (Environnement, Social et Gouvernance) et la durabilité.

Nos prestations sont :

  • Formation et renforcement des capacités,
  • Étude d’impacts environnementale et sociale,
  • Diagnostic RSE et ESG,
  • Élaboration de stratégie et de politique RSE, ESG, de durabilité et d’impact,
  • Organisation de forums, d’ateliers et de séminaires,
  • Rédaction de rapport RSE, ESG et d’impact,
  • Communication sur la RSE,
  • Réalisation de bilan carbone et élaboration stratégie / politique bas carbone,
  • Labellisation DOING GOOD IN AFRICA (DGIA).

www.ia-rse.com

Thierry TENE

Fondateur du groupe panafricain Afrique RSE

Lauréat du prix spécial ISAR 2022 de la Conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement (CNUCED) dans la catégorie internationale 

Co-fondateur de DOING GOOD IN AFRICA (DGIA) 

Whatsapp (uniquement) :  +33 6 75 37 49 67 

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Éditeur du magazine Dirigeantes

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